Finalement, avec des antidouleurs, il recommence à manger de lui même.
Le véto n'en revient pas, ce chon est increvable.
Du coup, j'ai annulé l'euthanasie pour le moment.
C'est difficile à vivre, d'un sens je suis contente de l'avoir, et d'un sens, étant donné l'issu irrémédiable, et la difficulté à le maintenir dans un relatif confort (à slalomer entre la gestion du transit, de la douleur, des complications suite aux effets secondaires des traitements) que j'aurai préféré qu'il parte vite comme son frère.
Je culpabilise un peu de ressentir ça. Mais bon tant qu'il se bat, je le suis.